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Du 1er au 5 mars 2021 (en ligne) – Journées de la Société Civile 2021

Le Comité économique et social européen (CESE) organise les journées de la société civile afin de réunir les citoyens européens, les organisations de la société civile et les institutions européennes afin de débattre des éléments essentiels pour une reprise durable au service des citoyens européens. Huit ateliers interactifs seront organisés sur des thématiques telles que l’économie sociale et l’entrepreneuriat des jeunes, le rôle de l’éducation et de la culture dans la reprise, le pacte vert social ou encore l’activisme des jeunes.
 
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Du 1er au 5 mars 2021 (en ligne) – Journées de la Société Civile 2021

Le Comité économique et social européen (CESE) organise les journées de la société civile afin de réunir les citoyens européens, les organisations de la société civile et les institutions européennes afin de débattre des éléments essentiels pour une reprise durable au service des citoyens européens. Huit ateliers interactifs seront organisés sur des thématiques telles que l’économie sociale et l’entrepreneuriat des jeunes, le rôle de l’éducation et de la culture dans la reprise, le pacte vert social ou encore l’activisme des jeunes.
 
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Du 23 au 24 juin 2021 (en ligne) – Journées européennes de la Recherche et de l’innovation

Pour la troisième année consécutive, la Direction générale de la Recherche et de l’innovation organise les « R&I Days ». Cet évènement vise à réunir tous les décideurs, scientifiques, innovateurs, développeurs de technologie, etc. intéressés par la coopération européenne en matière de recherche et d’innovation. Habituellement autour du mois de septembre, les Journées 2021 ont été avancées cette année en juin pour correspondre au lancement des premiers appels du programme Horizon Europe. En plus d’être une opportunité d’obtenir de l’information et de faire remonter des idées, les R&I Days 2021 viseront à faciliter le réseautage entre partenaires potentiels. 
 
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Sur Twitter @EUScienceInnov

Du 23 au 24 juin 2021 (en ligne) – Journées européennes de la Recherche et de l’innovation

Pour la troisième année consécutive, la Direction générale de la Recherche et de l’innovation organise les « R&I Days ». Cet évènement vise à réunir tous les décideurs, scientifiques, innovateurs, développeurs de technologie, etc. intéressés par la coopération européenne en matière de recherche et d’innovation. Habituellement autour du mois de septembre, les Journées 2021 ont été avancées cette année en juin pour correspondre au lancement des premiers appels du programme Horizon Europe. En plus d’être une opportunité d’obtenir de l’information et de faire remonter des idées, les R&I Days 2021 viseront à faciliter le réseautage entre partenaires potentiels. 
 
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© © Région Nouvelle-Aquitaine

A l’occasion de cet échange, Alain Rousset a pu aborder plusieurs dossiers clés, tels que l’Eurovignette, la révision du réseau transeuropéen de transport (RTE-T), les trains à batteries et à hydrogène, la ligne ferroviaire transfrontalière Pau-Canfranc-Saragosse, ainsi que les projets FERROCAMPUS et RER métropolitain.
 
Herald Ruijters, le Directeur Investissement, Transport innovant et durable, a indiqué que la CE avait été surprise par la décision de la France de reporter au-delà de 2037 (Loi d’orientation des mobilités) la construction de la LGV vers l’Espagne, prioritaire pour l’UE. Côté espagnol, la LGV sera mise en service bien avant. Isabelle Maës, Conseillère du Professeur Carlo Secchi, Coordinateur européen du Corridor Atlantique, a en outre rappelé que celui-ci devait être achevé, selon les objectifs de l’UE, pour 2030.

Concernant l’Eurovignette, le président de la Région revendique la possibilité de mettre en place une taxe carbone, afin de lutter contre la pollution autour de l’axe routier qui relie la région parisienne à l’Espagne. Les ressources de cette taxe pourraient être utilisées afin de financer les infrastructures ferroviaires. Sur ce dossier, Eddy Liégeois, Chef d’unité Réseaux de transport, a signalé que les trilogues entre le Parlement européen, le Conseil de l’UE et la CE avaient commencé fin janvier mais qu’il ne fallait pas s’attendre à des avancées majeures sous présidence portugaise. Il a confirmé qu’un sur-péage pourrait permettre de financer des infrastructures alternatives. 

En matière de révision du RTE-T, sur laquelle la DG MOVE présentera une proposition à l’automne, Alain Rousset a souligné les priorités néo-aquitaines, au premier rang desquelles l’intégration du Grand Port Maritime de La Rochelle au réseau central. Sur ce point précis, Herald Ruijters a indiqué qu’une fusion des corridors de fret ferroviaire et des corridors RTE-T était envisagée. Les autres souhaits de modifications des cartes portés par la Région ont également été mentionnés: l’ajout de la ligne ferroviaire La Rochelle-Poitiers et de la Garonne au réseau central; l’inscription de la ligne ferroviaire Bordeaux-Nantes dans le réseau global; l’ajout de l’Agglomération Pays Basque à la liste des nœuds urbains; et la prise en compte du Centre européen de fret (CEF) de Mouguerre-Bayonne parmi les terminaux rail-route du RTE-T.

Sur les trains à batterie et à hydrogène, ainsi que sur le projet FERROCAMPUS, les pistes de travail évoquées concernent les partenariats Shift2Rail (futur partenariat Rail européen), Hydrogène et le dispositif "Blending Facility" du Mécanisme pour l’Interconnexion en Europe (MIE).

Enfin, le président de la Région Nouvelle-Aquitaine a également fait un état des lieux de l’avancement du projet de réouverture de la ligne ferroviaire franco-espagnole entre Pau et Saragosse, dont les études en cours sont cofinancées par le MIE.

Le 18 février, Isabelle Boudineau, Vice-présidente Europe et International du Conseil régional, a eu l’opportunité d’échanger avec la Commissaire européenne en charge du transport, Adina Valean. La rencontre était organisée par le Comité européen des Régions (CdR), dont Isabelle Boudineau préside la commission en charge du budget, de la politique de cohésion et du transport (COTER). La réunion avait pour but de renforcer la coopération entre le CdR et la DG MOVE. Isabelle Boudineau a également saisi l’opportunité de cet échange pour insister sur les priorités de la Nouvelle-Aquitaine évoquées ci-dessus. Elle a en outre abordé les difficultés concernant l’éligibilité aux fonds européens des projets en matière de matériel roulant, que ce soit du côté de la politique de cohésion ou de celui du MIE. 

© © Union européenne

Pour relever les défis actuels, la stratégie donne la priorité à une réforme en profondeur de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), comprenant des engagements mondiaux en matière de commerce et de climat, de nouvelles règles pour le commerce numérique, des règles renforcées pour lutter contre les distorsions de concurrence, ainsi que le rétablissement de son système de règlement contraignant des différends. La Commission européenne souhaite aussi intégrer l’engagement à la neutralité climatique aux futurs accords bilatéraux de libre-échange. Elle annonce à ce titre le réexamen en 2021 du plan d'action sur la mise en œuvre des chapitres de développement durable dans les accords commerciaux, afin d’intégrer notamment "la possibilité de sanctions en cas de non-conformité" des engagements de la part des pays partenaires. Concernant la relation avec les Etats –Unis, la Commission veut intensifier le partenariat transatlantique sur la transformation écologique et numérique.

Le concept d’ "autonomie stratégique", défendu par la France, est largement évoqué: fruit d’un compromis avec des Etats membres du nord de l’UE craignant le retour du protectionnisme, il devient cependant "autonomie stratégique ouverte". Sur ce point la Commission ne propose pas d’action et reste floue. Elle souligne notamment le rôle central du secteur privé pour faire face aux risques de ruptures d’approvisionnement ou aux chocs sur la demande, "en particulier lorsque les entreprises dépendent d’un seul fournisseur". La Commission en appelle également aux "décideurs politiques" qui doivent selon elle encore "mieux comprendre les vulnérabilités, partager des informations et encourager la coopération". Elle rappelle les travaux en cours "visant à recenser les dépendances stratégiques, en particulier dans les écosystèmes industriels les plus sensibles tels que la santé", qui "fourniront une base solide pour définir les réponses nécessaires et pour nouer un dialogue avec l’industrie. Ces travaux contribueront, entre autres, à la mise en œuvre de la nouvelle stratégie pharmaceutique et à l’élaboration de la stratégie de politique industrielle actualisée".

Parmi les outils à destination des PME, la Commission rappelle le rôle du Responsable européen du respect des règles du commerce (Chief Trade Enforcement Officer’s, CTEO). Ce poste, créé l’été dernier, est actuellement occupé par le Français Denis Redonnet, rattaché à la Direction générale du Commerce de la Commission européenne, qui a pour mission notamment de garantir que les PME européennes "bénéficient de façon maximale de nos accords commerciaux". La Commission annonce également le renforcement des outils en ligne d’aide aux entreprises: par exemple la création d’un nouvel outil d’accès aux marchés publics et le développement du portail en ligne Access2Market.

Enfin, la Stratégie annonce la création d’un instrument anti coercitif - une consultation est actuellement en cours et la proposition législative annoncée pour la fin de l’année - ; la création d’un instrument juridique pour remédier aux distorsions provoquées par les subventions étrangères sur le marché intérieur de l’UE; une possible "stratégie européenne pour les crédits à l’exportation", un soutien public pour aider les exportateurs à faire face à la concurrence sur les marchés étrangers. 

La communication de la Commission européenne "Réexamen de la politique commerciale – Une politique commerciale ouverte, durable et ferme"

Annexe à la communication "Réforme de l’OMC: vers un système commercial multilatéral durable et efficace"

Communiqué de presse de la Commission européenne

Consultation en cours "Différends commerciaux — Un mécanisme pour prévenir et contrer les mesures coercitives prises par des pays tiers"

Le FSE+ est l’un des fonds qui alimente la politique de cohésion de l’UE et qui est en partie géré, en France, par les conseils régionaux. Le budget 2021-2027 du FSE+ s’élèvera à près de 88 milliards € (prix 2018) pour toute l’UE. 

Ce fonds cofinancera des projets de création d’emplois, d’éducation et de formation, ainsi que d’inclusion sociale et de lutte contre la pauvreté. Le FSE+ 2021-2027 regroupe dans un même règlement le Fonds social européen, l’initiative pour l’emploi des jeunes (IEJ), le Fonds européen d’aide aux plus démunis (FEAD) et le programme pour l’emploi et l’innovation sociale (EaSI). Ce dernier volet est doté d’un budget spécifique de 676 millions €. 

Parmi les sujets aillant fait l’objet d’un accord entre les institutions européennes, figurent notamment les éléments suivants:

  • 25% des fonds du FSE+ en gestion partagée (hors EaSI) seront alloués à l’inclusion sociale; 
  • 3% de l’argent disponible devront être dédiés à la lutte contre la pauvreté extrême dans chaque pays (aide alimentaire et assistance matérielle de base notamment);
  • 12,5% des fonds seront consacrés à la lutte contre le chômage des jeunes dans les Etats membres où la part des jeunes sans emploi qui ne suivent ni études ni formation (NEET) est supérieure à la moyenne européenne. Les autres Etats membres devront prévoir un montant approprié du FSE+ pour des actions ciblées en faveur de l’emploi des jeunes;
  • 5% du FSE+ iront à la lutte contre la pauvreté infantile, dans les pays où le nombre d’enfants à haut risque de pauvreté dépasse la moyenne européenne. Tous les autres Etats membres devront prévoir un montant approprié du FSE+ pour financer des actions dans ce domaine. 

Par ailleurs, le 9 février, les institutions européennes se sont également entendues sur les considérants du règlement Fonds européen de développement régional (FEDER), puis, le 11 février, sur les considérants et les annexes du règlement portant dispositions communes, après l’accord politique intervenu fin 2020 (voir article).

Les textes de tous ces accords devraient être validés par le Comité des représentants permanents (COREPER, réunion des ambassadeurs) des 27 Etats membres de l’UE le 3 mars, puis par la plénière du Parlement européen. La publication de l’ensemble des règlements de la politique de cohésion 2021-2027 au Journal officiel de l’UE, marquant leur entrée en vigueur, est envisagée pour juin.

Pour relever les défis actuels, la stratégie donne la priorité à une réforme en profondeur de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), comprenant des engagements mondiaux en matière de commerce et de climat, de nouvelles règles pour le commerce numérique, des règles renforcées pour lutter contre les distorsions de concurrence, ainsi que le rétablissement de son système de règlement contraignant des différends. La Commission européenne souhaite aussi intégrer l’engagement à la neutralité climatique aux futurs accords bilatéraux de libre-échange. Elle annonce à ce titre le réexamen en 2021 du plan d'action sur la mise en œuvre des chapitres de développement durable dans les accords commerciaux, afin d’intégrer notamment "la possibilité de sanctions en cas de non-conformité" des engagements de la part des pays partenaires. Concernant la relation avec les Etats –Unis, la Commission veut intensifier le partenariat transatlantique sur la transformation écologique et numérique.

Le concept d’ "autonomie stratégique", défendu par la France, est largement évoqué: fruit d’un compromis avec des Etats membres du nord de l’UE craignant le retour du protectionnisme, il devient cependant "autonomie stratégique ouverte". Sur ce point la Commission ne propose pas d’action et reste floue. Elle souligne notamment le rôle central du secteur privé pour faire face aux risques de ruptures d’approvisionnement ou aux chocs sur la demande, "en particulier lorsque les entreprises dépendent d’un seul fournisseur". La Commission en appelle également aux "décideurs politiques" qui doivent selon elle encore "mieux comprendre les vulnérabilités, partager des informations et encourager la coopération". Elle rappelle les travaux en cours "visant à recenser les dépendances stratégiques, en particulier dans les écosystèmes industriels les plus sensibles tels que la santé", qui "fourniront une base solide pour définir les réponses nécessaires et pour nouer un dialogue avec l’industrie. Ces travaux contribueront, entre autres, à la mise en œuvre de la nouvelle stratégie pharmaceutique et à l’élaboration de la stratégie de politique industrielle actualisée".

Parmi les outils à destination des PME, la Commission rappelle le rôle du Responsable européen du respect des règles du commerce (Chief Trade Enforcement Officer’s, CTEO). Ce poste, créé l’été dernier, est actuellement occupé par le Français Denis Redonnet, rattaché à la Direction générale du Commerce de la Commission européenne, qui a pour mission notamment de garantir que les PME européennes "bénéficient de façon maximale de nos accords commerciaux". La Commission annonce également le renforcement des outils en ligne d’aide aux entreprises: par exemple la création d’un nouvel outil d’accès aux marchés publics et le développement du portail en ligne Access2Market.

Enfin, la Stratégie annonce la création d’un instrument anti coercitif - une consultation est actuellement en cours et la proposition législative annoncée pour la fin de l’année - ; la création d’un instrument juridique pour remédier aux distorsions provoquées par les subventions étrangères sur le marché intérieur de l’UE; une possible "stratégie européenne pour les crédits à l’exportation", un soutien public pour aider les exportateurs à faire face à la concurrence sur les marchés étrangers. 

La communication de la Commission européenne "Réexamen de la politique commerciale – Une politique commerciale ouverte, durable et ferme"

Annexe à la communication "Réforme de l’OMC: vers un système commercial multilatéral durable et efficace"

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Consultation en cours "Différends commerciaux — Un mécanisme pour prévenir et contrer les mesures coercitives prises par des pays tiers"

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