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Les projets proposés devront :
- S’appuyer sur des modalités de transmission de l’information qui favorisent la dynamique de groupe et la mixité des participants ;
- S’appuyer sur une pédagogie permettant aux bénéficiaires de jouer un rôle actif dans l’appropriation des informations ;
- S’appuyer sur des mises en situation concrètes (immersion en entreprise, visite de plateaux techniques, utilisation de casques de réalité virtuelle)
- S’appuyer sur des rencontres et échanges avec des professionnels et/ou des étudiants et/ou de pair à pair ;
- Permettre aux bénéficiaires une prise en main des outils et notamment ceux déployés par la Région et ses partenaires que sont Cap Métier Nouvelle Aquitaine et l’Onisep ;
- Etre porté à la connaissance des jeunes au plus près du lieu de vie des bénéficiaires (établissements, tiers lieux…) ;
- Etre complémentaires des actions menées par les partenaires ;
- Etre ancrés dans les territoires et maillent les zones rurales.
Porteurs de projets
- Tous les acteurs intervenants dans les actions d'orientation
Informations complémentaires
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Dépot de mon dossier
Vous devez compléter la fiche de demande préalable, le dossier de candidature et fournir diverses pièces.
La Commission européenne a lancé ce 21 juin une consultation publique sur la base de données en matière de transparence dans le cadre de la loi sur les services numériques (dont l’acronyme anglais est DSA pour « Digital Services Act »). Pour rappel, la loi DSA introduit de nouvelles règles encadrant les services intermédiaires en ligne notamment pour renforcer la protection des mineurs et offrir aux utilisateurs un plus grand choix et de meilleures informations. Tous les intermédiaires en ligne à l’exception des micro-entreprises et des petites entreprises, sont soumis à ces nouvelles obligations de transparence.
Comme le stipule l’article 24 de la DSA, la Commission a conçu et préparé une base de données des déclarations des plateformes en ligne accessible au public, concernant les raisons de la suppression d'informations et d'autres décisions de modération de contenu.
Le but de cette consultation publique est ainsi de donner l’opportunité à toutes les parties prenantes et intéressées – y compris le grand public – de faire remonter des informations sur les modalités de mise en œuvre de cette base de données avec notamment le type d’informations à collecter, les méthodes de soumission des motivations ou encore les outils d'accès pour le public.
Les acteurs intéressés ont ainsi jusqu’au 17 juillet prochain pour faire des suggestions sur la manière précise dont cette obligation devrait être mise en œuvre avant que la base de données ne devienne opérationnelle.
La Commission européenne a lancé ce 21 juin une consultation publique sur la base de données en matière de transparence dans le cadre de la loi sur les services numériques (dont l’acronyme anglais est DSA pour « Digital Services Act »). Pour rappel, la loi DSA introduit de nouvelles règles encadrant les services intermédiaires en ligne notamment pour renforcer la protection des mineurs et offrir aux utilisateurs un plus grand choix et de meilleures informations. Tous les intermédiaires en ligne à l’exception des micro-entreprises et des petites entreprises, sont soumis à ces nouvelles obligations de transparence.
Comme le stipule l’article 24 de la DSA, la Commission a conçu et préparé une base de données des déclarations des plateformes en ligne accessible au public, concernant les raisons de la suppression d'informations et d'autres décisions de modération de contenu.
Le but de cette consultation publique est ainsi de donner l’opportunité à toutes les parties prenantes et intéressées – y compris le grand public – de faire remonter des informations sur les modalités de mise en œuvre de cette base de données avec notamment le type d’informations à collecter, les méthodes de soumission des motivations ou encore les outils d'accès pour le public.
Les acteurs intéressés ont ainsi jusqu’au 17 juillet prochain pour faire des suggestions sur la manière précise dont cette obligation devrait être mise en œuvre avant que la base de données ne devienne opérationnelle.
Le refus d'accompagner un projet est systématiquement motivé. Le projet refusé ne peut pas être présenté une seconde fois de manière identique*. En revanche si le projet a été ajourné, il pourrait être présenté à nouveau et sa présentation sera soumise au respect des préconisations formulées par la Région.
*Pour le FEADER, dans certains cas, un projet refusé peut être à nouveau déposé, à condition que ce projet ait connu des modifications substantielles permettant de reconsidérer la demande. Pour en savoir plus, prenez contact avec votre référent.