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Les Universités Européennes, financées dans le cadre du programme Erasmus+, sont des alliances transnationales d’établissements d’enseignement supérieur de toute l’Union européenne visant à promouvoir les valeurs et l’identité européennes et aboutir à un enseignement européen qualitatif et compétitif.

L’Université de Poitiers coordonne l’alliance EC2U (European Campus of City-Universities) avec six partenaires (Universités d’Iasi (Roumanie), d’Iéna (Allemagne), de Coimbra (Portugal), de Pavie (Italie), de Salamanque (Espagne) et de Turku (Finlande)). L’ambition de cette alliance est de développer un espace permettant une mobilité libre entre les sept universités pour contribuer à l’abandon des clichés régionaux et nationaux et aider à l’achèvement d’une meilleure unité européenne.

De son côté, l’Université de Bordeaux est lauréate pour l’alliance ENLIGHT (European University Network to promote Equitable Quality of Life, Sustainability, and Global Engagement through Higher Education Transformation) qu’elle coordonne avec l’Université de Gand (Belgique). Les partenaires associés sont les Universités de Bratislava (Slovaquie), de Galway (Irlande), de Göttingen (Allemagne), de Groningue (Pays-Bas), de Tartu (Estonie), d’Uppsala (Suède) et du Pays Basque (Espagne). Les neuf universités mettront en place de nouveaux modèles d’éducation et de recherche adaptés aux problèmes auxquels les villes et communautés sont confrontées. Cinq principaux défis seront visés: la santé et le bien-être, la transformation numérique, l’énergie et la circularité, les inégalités sociales et le changement climatique.

Enfin, l’Université de Pau et des Pays de l’Adour a été sélectionnée pour l’alliance UNITA – Universitas Montium. Coordonnée par l’Université de Turin (Italie), elle rassemble également les Universités de Savoie Mont Blanc (France), de Beira Interior (Portugal), de Saragosse (Espagne) et de Timişoara (Roumanie). L’alliance souhaite proposer un nouveau modèle d’universités capables de contribuer au développement de la société et des territoires dans une dimension européenne. Trois caractéristiques réunissent les partenaires: leur situation géographique dans des zones montagneuses, des thématiques communes de recherche notamment sur les énergies renouvelables, le patrimoine culturel ou la bioéconomie ainsi que leur affinité entre langues romanes pour renforcer la diversité linguistique.

Chaque alliance recevra une enveloppe maximale de 5 millions€ au titre d’Erasmus+ et un complément maximal de 2 millions€ du programme Horizon 2020.

Cette action-pilote ayant généré beaucoup d’intérêt en 2019 et 2020, les Universités Européennes deviendront une action à part entière du programme Erasmus+ lors de la programmation 2021-2027.

Communiqué de presse de la Commission européenne (9 juillet 2020)

Liste des 24 Universités Européennes retenues
 

Au cours de cette discussion, Elisa Ferreira a rappelé que la politique de cohésion avait réagi rapidement à la pandémie, à travers les paquets de mesures CRII (Initiative d'investissement en réponse au Coronavirus), que seuls l’Autriche et le Danemark n’avaient pas utilisé. Selon la commissaire, près de 50 milliards€ de fonds de la politique de cohésion 2014-2020 pourraient être mobilisés au total, pour l’achat de masques et de ventilateurs, pour soutenir les PME et lutter contre le chômage.

Sur le plan de relance proposé par la Commission européenne le 27 mai, Mme Ferreira a indiqué que c’était en réponse aux demandes des régions et du Parlement européen que l’initiative ReactEU avait été présentée, afin d’assurer une meilleure transition vers la période de programmation 2021-2027.

Concernant la Facilité pour la reprise et la résilience (FRR), la commissaire souhaite maintenir la logique d’une base régionale et spatiale. Isabelle Boudineau a insisté sur le fait que les politiques structurelles et d’investissement devaient en effet tenir compte des inégalités territoriales.

La vice-présidente a alerté la commissaire sur le défi qui attend les autorités de gestion des fonds de cohésion, sur l’articulation entre ReactEU et la préparation des programmes opérationnels 2021-2027. Un énorme engagement de leur part sera nécessaire. En matière de simplification, Isabelle Boudineau a souhaité rappeler qu’il restait deux sources majeures de complexité: les marchés publics d’une part, les audits et contrôles de l’autre.

La commissaire et la vice-présidente ont enfin échangé sur le sujet des ressources propres, qui pourraient alimenter le budget européen, et s’accordent à dire qu’il y a actuellement un "momentum" sur ce sujet et qu’il faut en profiter pour avancer.

Isabelle Boudineau a enfin saisi l’opportunité de cette rencontre pour inviter Elisa Ferreira en novembre prochain à Bordeaux, où se tiendra une réunion "extérieure" (en dehors de Bruxelles) de la COTER, sous réserve que la situation sanitaire le permette.

Quelques jours plus tard, Isabelle Boudineau a participé à une réunion organisée par l’Alliance pour la Cohésion, en présence également de la Commissaire Ferreira et du Président de la commission Développement régional du Parlement européen, Younous Omarjee. Cette rencontre a été l’occasion pour l’Alliance et ses membres fondateurs (CRPM, AEBR, Eurocities, CCRE et CALRE) de présenter leur dernière déclaration pour une Europe de la cohésion, du développement durable et de la résilience.

Pour plus d’information :

Rediffusion de la réunion de l’Alliance pour la Cohésion

Déclaration de l’Alliance pour la Cohésion

Si l’AFIGIA se félicite que cette feuille de route  prenne en compte les IG Non Agricoles (IGNA), elle rappelle l’importance d’une règlementation européenne permettant leur protection. Les arguments ainsi avancés sont:

- Les IG non agricoles, françaises et européennes, doivent disposer d’une protection commune à l’échelle de l’UE, cette protection étant conforme aux règles de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC).

- Les IG françaises ne sont protégées qu’en France alors que les entreprises ont des marchés en Europe et à l’international.

- Les stratégies collectives d’IG et les entreprises impliquées ne peuvent donc pas être protégées correctement, induisant une faiblesse de la protection de leurs droits de propriété industrielle.

 - Les produits et les entreprises qui les fabriquent doivent pouvoir être protégés, notamment sur certains marchés importants, comme cela est le cas aujourd’hui des appellations viticoles et de certaines appellations agro-alimentaires.

- En l’absence d’une règlementation commune et uniforme, chaque IG non agricole doit, une fois la reconnaissance nationale obtenue, réclamer la protection dans chaque pays de l’UE quand une protection est prévue. Cela peut être lourd en termes de coûts et de procédure.

- La mise en place d’une règlementation européenne pour les IGNA permettrait aux produits de pouvoir être intégrés dans les listes d’IG annexées à certains accords commerciaux. Les IGNA françaises sont largement exportées et doivent donc être protégées sur les marchés à l’international.

La feuille de route « Plan d’action en matière de propriété intellectuelle » de la Commission européenne

L’AFIGIA

La contribution de l'AFIGIA à la consultation européenne

Cet ultime appel, qui ne comportait que 947 coupons disponibles pour plus de 8600 candidatures reçues, a été très compétitif. En effet, tous les coupons ont été distribués dans les cinq premières secondes après l’ouverture de l’appel.

Pour la France, vingt-neuf municipalités ont été sélectionnés, dont cinq en Nouvelle-Aquitaine. Il s’agit de :

  • Auterrive et Guéthary, dans les PyrénéesAtlantiques ;
  • Brocas dans les Landes ;
  • Cherves dans la Vienne ;
  • SaintHilaire-de-Lusignan dans le Lot-et-Garonne.

Trois municipalités néo-aquitaines ont également été placées sur liste de réserve : La Souterraine (Creuse),  Millac (Vienne) et Verteuil-sur-Charente (Charente). Elles pourront éventuellement être recontactées pour signer une convention de subvention dans le cas où un candidat sur liste principale renoncerait à son coupon.                                                                       
Le portail Wifi4EU

La liste des lauréats français

Après les projets PÉÉPOS, GIRONDE XL et PIXEL, il confirme ainsi sa volonté de se positionner comme un port catalyseur d’innovation. Le projet "H2Bordeaux" est une étude visant à préparer le déploiement de l’hydrogène en tant que carburant alternatif sur le port, tout en soutenant la transition énergétique des opérations portuaires.

Le projet encouragera le développement d’un écosystème fondé sur l’hydrogène dans la zone portuaire, contribuant ainsi à la décarbonisation du port et à la réduction de l’empreinte carbone de la métropole de Bordeaux. Il reposera notamment sur la récupération d’un hydrogène non valorisé produit à proximité du port de Bordeaux.

Les objectifs de l’étude seront donc de:

  • Mettre en avant les potentiels consommateurs d’hydrogène dans la zone du port de Bordeaux: mobilité terrestre ou fluviale, applications stationnaires;
  • Soutenir le développement de la filière hydrogène et notamment les fournisseurs de solutions;
  • Créer un projet référence servant de base de réplicabilité pour d’autres projets similaires dans d’autres zones portuaires européennes;
  • Poser des jalons pour la conversion et la fabrication d’engins à l’hydrogène.

Le cofinancement de l’UE s’élève à 375 000 €, soit 50% du montant total du projet. Les partenaires de l’étude, qui démarrera en septembre et se terminera en 2022, sont Nexeya et Storengy.