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La Direction générale Défense & Espace (DG DEFIS) de la Commission européenne organise trois à quatre ateliers par an en partenariat avec des régions européennes actives dans le domaine de la défense. En janvier 2023, la Région Nouvelle-Aquitaine, en coopération avec son Agence de développement et d'innovation, Aerocampus Aquitaine, Tarmaq, le Pôle Aerospace Valley, le Pôle AlphaRLH, le Pôle européen de la Céramique, la Chaire Défense & Aérospatial, l'Université de Bordeaux et la Direction Régionale de l'Économie, de l'Emploi, du Travail et des Solidarités, accueillera à son tour l’un de ces ateliers.
Les discussions porteront sur la mise en œuvre des objectifs du Pacte vert européen dans le secteur de la Défense. Les acteurs publics, académiques et économiques présents, qui viendront de plusieurs pays européens, échangeront à propos des solutions existantes et futures visant à concilier les contraintes inhérentes au secteur de la défense avec la nécessité de développer une activité économique respectueuse des objectifs du Pacte Vert et de la feuille de route régionale NeoTerra. Les trois ateliers seront consacrés au cycle de vie des produits, aux enjeux énergétiques pour la défense et à l’attractivité du secteur et permettront d’échanger sur les innovations envisagées pour atteindre les objectifs de durabilité. La Commission européenne présentera également les opportunités de financements du Fonds européen pour la Défense 2021-2027.
Cet événement prendra place dans le cadre du Réseau européen des régions liées à la défense. Il se tiendra en anglais.
La communication "Garantir la disponibilité et le caractère abordable des engrais" propose un certain nombre d'actions et d'orientations sur la manière de relever les défis auxquels sont actuellement confrontés les agriculteurs et l'industrie de l'UE, ainsi que les pays en développement, face aux prix élevés et instables des engrais. La nécessité de renforcer la résilience globale et la durabilité des systèmes alimentaires à moyen et à long terme est également abordée, conformément à la communication sur la préservation de la sécurité alimentaire à la stratégie "De la ferme à la table" et à REPowerEU.
Réclamée depuis quelques mois par de nombreux Etats membres et les acteurs du monde agricole, la communication passe pour l’essentiel en revue des outils déjà existants. Elle souligne en particulier l’importance du nouveau cadre temporaire de crise pour les aides d'État, qui permet aux États membres de fournir une aide spécifique en faveur des agriculteurs et des producteurs d'engrais. Ce point de la communication est jugé "décisif" par le Commissaire européen à l’agriculture Janusz Wojciechowski, qui s’exprimait devant les députés européens le 9 novembre. La communication souligne que dans ce cadre, le soutien de l’État peut prendre différentes formes, allant au-delà des mesures d’aide d’État: "Il est, par exemple, possible pour les pouvoirs publics d’acheter des engrais à des prix de marché plus compétitifs (compte tenu de leur pouvoir de négociation) et de les proposer aux agriculteurs à des prix inférieurs (ce qui contiendrait un élément d’aide d’État), dans les limites applicables de l’encadrement".
La communication propose également que la Commission examine avec les États membres l'opportunité d'utiliser la réserve de crise agricole d'un montant de 450 millions d'euros pour l'exercice 2023 pour les agriculteurs touchés par les coûts élevés des intrants. La Commission encourage en outre les États membres à réviser leurs plans stratégiques PAC afin d’encourager les agriculteurs à utiliser les engrais de manière plus efficace et plus durable, et s’engage à soutenir les modifications qui iraient dans ce sens.
Parmi les nouvelles annonces, la communication annonce le lancement en 2023 d’un observatoire du marché des engrais "afin de partager des données sur la production, l'utilisation, les prix et les flux commerciaux". Le texte fait référence également à la création en 2023 d’un "Conseil européen de l’innovation pour une agriculture résiliente" doté de 65 millions d’euros, pour soutenir des start-up "afin de maintenir et d’améliorer le rendement des cultures grâce à des technologies respectueuses de l’environnement, notamment dans le domaine de la fertilisation".
Les représentants européens du monde agricole ont accueilli cette communication avec quelques réserves, pointant notamment du doigt l’absence de propositions d’actions à court terme pour faciliter l’accès des européens aux engrais. L’utilisation de la réserve de crise n’a quant à elle pas soulevé l’enthousiasme de certains Etats. Le ministre français de l’agriculture Marc Fesneau soulignant en particulier son budget limité.
Communiqué de presse "Garantir la disponibilité et le caractère abordable des engrais"
Organisé conjointement par la Ligue de l’Enseignement Nouvelle-Aquitaine et l'association "Arbeit und Leben Hessen", avec le soutien du bureau de la représentation de Nouvelle-Aquitaine à Bruxelles, ce dialogue franco-allemand a regroupé sur une semaine six Français de Nouvelle-Aquitaine et six Allemands de la région de la Hesse. Par groupes de trois, ils ont rédigé un programme politique, "Moi, Eurodéputé", axé sur la jeunesse en vue des élections du Parlement européen en 2024.
Pour alimenter leurs réflexions, les participants ont eu l’occasion d’échanger avec des acteurs centraux du secteur des politiques de jeunesse à Bruxelles. Ils ont notamment pu poser directement leurs questions à la Direction générale pour l’éducation, la jeunesse, le sport et la culture (DG EAC) de la Commission européenne, aux équipes parlementaires de Laurence Farreng, eurodéputée originaire de Nouvelle-Aquitaine et membre de la commission parlementaire "culture et éducation", ou encore aux membres de l'ONG European Youth Forum, qui porte la voix des jeunes dans les débats européens.
Leurs travaux finaux ont été partagés avec les interlocuteurs les ayant accueillis lors de leur semaine à Bruxelles.
Le projet a bénéficié du soutien de l’Office Franco-Allemand pour la Jeunesse (OFAJ), de la Région Nouvelle-Aquitaine et du land de Hessen.
Le 10 novembre 2022, la Commission a présenté une proposition de révision sur les normes Euro. Cette proposition vise à étendre le champ d’application et renforcer le contrôle des émissions polluantes de l’ensemble des véhicules routiers. Ce secteur étant la principale source de pollution atmosphérique dans les villes, les nouvelles normes Euro 7 devront permettre d’améliorer la qualité de l’air.
Aux côtés des normes en matière d'émissions de CO2 pour les véhicules, les normes Euro 7 devront s’assurer que la transition vers la décarbonation de la mobilité soit la plus propre possible via l’ajout de nouveaux paramètres.
Les normes Euro 7 seront ainsi les premières normes d'émissions mondiales à ne plus considérer uniquement les émissions des tuyaux d'échappement mais à prendre en compte les émissions de particules provenant des freins ainsi que les émissions de microplastiques provenant des pneumatiques. Ces règles s'appliqueront à tous les véhicules quelle que soit l’énergie utilisée pour la propulsion.
Le communiqué de presse de la Commission européenne sur la révision des normes Euro.
La Représentation de la Région Nouvelle-Aquitaine à Bruxelles a accueilli six jeunes âgés de 13 à 19 ans, désireux de mieux connaître le fonctionnement des institutions européennes, ainsi que les actions de l’Union européenne en faveur des jeunes. Les participants étaient notamment curieux de mieux comprendre l’impact de l’Union européenne dans leur vie quotidienne.
A cette occasion, les jeunes ont pu échanger avec l’équipe de la Nouvelle-Aquitaine à Bruxelles. Cela leur a permis de mieux comprendre le fonctionnement de l’Union européenne, de son action dans leur région et d’en apprendre davantage sur les politiques européennes en matière de jeunesse, de mobilité, et d’environnement.
Des visites à la fois culturelles et civiques se sont succédées: les jeunes ont pu approfondir leurs connaissances des institutions européennes et du rôle des eurodéputés grâce à la visite de l’hémicycle du Parlement européen et du Parlementarium, le centre de visite du Parlement.
Ils ont également eu l’opportunité d’effectuer une visite guidée de la Maison de l’histoire européenne, au cœur du quartier européen, où ils ont pu explorer les racines anciennes de l’Europe, ainsi que son histoire essentiellement du XIXème au XXIème siècle.
Cette visite constitue la dernière étape d’un projet qui a duré plusieurs mois et qui a permis à ce groupe de jeunes de travailler sur des enjeux de citoyenneté et d’élaboration des politiques publiques à plusieurs niveaux: local, régional, national et européen.
La délégation du CESER a tout d’abord été reçue par le Bureau de représentation de la Région Nouvelle-Aquitaine afin d'appréhender le rôle d’un bureau régional à Bruxelles et d’échanger sur l’exercice de ses missions.
Par la suite, les membres du CESER ont été accueillis.es à la Représentation permanente de la France auprès de l’Union européenne. Ce fut l’occasion de revenir sur le bilan de la Présidence Française de l’UE, le rôle de la France sur les derniers grands dossiers européens, la présence française autour et au sein des institutions européennes, et de discuter du lien avec la société civile. Les membres ont également profité de la rencontre pour échanger sur la position de la France quant à l’idée de constituer une "Macro-Région Atlantique".
Depuis les années 90, les CESER de Normandie, Bretagne, Pays de la Loire, et Nouvelle-Aquitaine coopèrent à travers l’Association des "CESER de l’Atlantique" pour développer des approches et des démarches communes et adopter des positions partagées sur des sujets qui dépassent le cadre strictement régional. En effet, les CESER de l’Atlantique entendent promouvoir l’échelle inter-régionale pour la prise en compte de certaines problématiques et s’intéressent notamment aux travaux menés par la Commission Arc Atlantique (AAC) de la Conférence des Régions Périphériques Maritimes (CRPM) sur la création d’une macro-région Atlantique. Ainsi, la délégation néo-aquitaine a pu discuter du sujet avec la représentation d’Euskadi et a poursuivi ses échanges au Parlement européen (PE), avec la députée européenne néo-aquitaine Laurence Farreng. La délégation a aussi eu l’occasion d’interagir avec le député européen Benoit Biteau, lui aussi néo-aquitain. Le CESER a enfin été chaleureusement accueilli par commission en charge du développement régional (REGI) présidée par le député européen Younous Omarjee.
Par ailleurs, le CESER ne pouvait pas se rendre à Bruxelles sans rencontrer son homologue, le Comité économique et social européen (CESE). Les deux instances consultatives ont pu présenter leurs méthodes de travail et leurs priorités respectives, concluant l’échange sur la nécessité de coopérer plus étroitement à l’avenir.
A ces rendez-vous se sont ajoutés des rencontres sur la politique de cohésion avec la DG REGIO de la Commission européenne et le Comité européen des Régions.
Enfin, en pleine crise énergétique, la délégation a eu l’occasion d’échanger avec un représentant de la direction générale de la CE en charge de l’énergie pour discuter des enjeux de la transition et le rôle des territoires. Le CESER a aussi pu échanger sur la place et les enjeux de l’Economie sociale et solidaire (ESS) avec un représentant de la DG Growth.