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Concours clotûré

Vous pouvez déposer vos créations directement en cliquant sur les liens ci-dessus concernés soit envoyer vos créations à l'adresse ue.communication@nouvelle-aquitaine.fr (en précisant votre nom et prénom, adresse et votre âge). Vous avez jusqu'au 31 mai inclus. 

Pour participer il vous faut réaliser :

une page ou une planche de bande dessinée au format A4    et/ou      une courte vidéo (entre 30 secondes et 1mn30) sous titrée si possible
Sur la thématique de l'Europe, en français et dont vous êtes l'auteur.
Résider en Nouvelle-Aquitaine est une condition pour participer au concours.
Le  règlement du concours est ici
Vous êtes mineur, téléchargez l'autorisation parentale ici


Créé il y a 10 ans, le Joli mois de l’Europe en Nouvelle-Aquitaine est l’occasion de s’approprier l’Europe
de façon ludique.
Chaque printemps, les liens entre l’Europe et les territoires sont fêtés dans les 12 départements de
Nouvelle-Aquitaine, dans les autres régions françaises et chez nos voisins d’Europe!
En 2018, plus de 150 événements (concerts, expositions, repas, visites…) ont été organisés par de nombreux
acteurs du territoire: écoles, lycées, universités, collectivités locales, associations.

Initié en 2012 avec l’ex-Région Limousin et repris par la Région Nouvelle-Aquitaine en 2016, le projet M-EraNet est coordonné par l'Agence autrichienne de développement de la recherche. La troisième édition de ce projet a été sélectionnée par la Commission européenne pour la période 2021-2026. Le consortium compte désormais quarante-trois organismes financeurs, venant de vingt-deux pays européens mais aussi de huit pays hors-UE (Norvège, Russie, Taiwan, Brésil, Afrique du Sud, etc.). Une subvention du programme Horizon 2020 de la Commission européenne permet de soutenir les activités du réseau et donc d’accroître la coordination des programmes de recherche et des financements associés dans le domaine des sciences et de l’ingénierie des matériaux. 

La Région Nouvelle-Aquitaine a décidé de participer à l’appel conjoint 2021, qui sera lancé à partir de la mi-mars. Une enveloppe de 500 000 € a été fléchée pour financer la participation d’acteurs néo-aquitains à des projets collaboratifs innovants, montés dans le cadre du réseau M-EraNet. 

Six axes de travail ont été définis: la modélisation pour l’ingénierie et le traitement des matériaux; les surfaces innovantes, les revêtements et les interfaces; les composites haute performance; les matériaux fonctionnels; les stratégies pour des technologies fondées sur les matériaux avancés dans le domaine de la santé; et les matériaux pour la fabrication additive. 

Cette année, le projet prendra également en compte la priorité fixée par la Commission européenne sur les batteries. Un tiers des financements devra être consacré à des projets de matériaux pouvant bénéficier à la chaine de valeur des batteries.

La page M-era.net (le site sera mis à jour à partir de la mi-mars)

Le partenariat européen interrégional de spécialisation intelligente (S3) "Hydrogen Valleys", dont la Région est membre, a organisé une rencontre dédiée à la formation en matière d’hydrogène pour la création d’industries durables en Europe. Cela a été l’occasion pour la Nouvelle-Aquitaine de présenter son écosystème hydrogène ainsi que les initiatives en matière de développement des compétences dans ce domaine. 

A côté des Régions Bourgogne-Franche-Comté et Aragon (Espagne), la Nouvelle-Aquitaine, représentée par Gérard Majewski, Chef de projet dans l’Unité Filières Vertes au Pôle Développement Economique et Environnemental, a exposé le contexte néo-aquitain dans lequel s’inscrit la feuille de route régionale de l’hydrogène, adoptée en session plénière le 5 octobre 2020.

Cette feuille de route a pour but et ambition de structurer et développer en Nouvelle-Aquitaine une filière industrielle sur l’ensemble de la chaîne de valeur de l’hydrogène (production, stockage, distribution, usages finaux, formation, etc.). Pour cela, elle inclue un plan d’action concret et détaillé réunissant huit fiches thématiques. Parmi celles-ci, la formation en matière d’hydrogène a une place dédiée.

La Région est d’ores et déjà en train de développer une offre de formation répondant aux enjeux en matière d’hydrogène. Celle-ci sera portée par les universités, les lycées, les centres de formations néo-aquitains. Pour la structurer, les besoins des acteurs économiques régionaux actifs dans l’hydrogène seront notamment ciblés (par exemple, les métiers de la maintenance).

Les initiatives néo-aquitaines s’inscrivent parfaitement dans le contexte européen de structuration des compétences en matière d’hydrogène. La Commission européenne encourage cela via son Pacte pour les compétences, lancé en novembre dernier. L'objectif est d'impliquer tous les acteurs des écosystèmes industriels européens, y compris de l’hydrogène, pour soutenir le développement des compétences durables et innovantes. Le secteur automobile a été l'un des premiers secteurs industriels à proposer des actions concrètes dans le cadre du Pacte pour les compétences, avec une initiative spécifique, "Automative Skills Alliance", qui a pour ambition d'améliorer les compétences de 5% des salariés dans les années à venir.

De plus, l’association Hydrogen Europe Research, fédérant les universités et les centres de recherche actifs dans le domaine, a également identifié les compétences comme une question essentielle pour développer et renforcer le secteur dans les années à venir. Pour cela, une cartographie des formations hydrogène au sein des différentes régions européennes est en cours de finalisation et sera bientôt rendue publique sur le site de l’Observatoire de l’hydrogène.

Enfin, la Région Nouvelle-Aquitaine participera au nouveau groupe de travail dédié aux compétences en matière d’hydrogène qui sera lancé prochainement par le partenariat S3 Hydrogen Valleys.

L'initiative "Automative Skills Alliance"

Le site de l’Observatoire de l’hydrogène

Lors de cette journée, quatre tables rondes se sont succédées, consacrées tour à tour aux élus des Régions Grand Est, Nouvelle-Aquitaine et Occitanie et aux représentants des usagers; ensuite au potentiel du "train léger" pour sauver les lignes de desserte fine, avec des interventions de Stadler, d’Alstom, de Transdev et d'AlphaTrain; puis aux travaux de recherche et d’expertise; et enfin aux acteurs du monde ferroviaire, avec notamment SNCF Réseau.

Les lignes ferroviaires de desserte fine sont définies par Pierre Zembri, du laboratoire LVMT, comme des lignes exclues du contrat de performance entre l’Etat et SNCF Réseau, et qui ne bénéficieraient donc pas d’investissements de la part de SNCF Réseau. Ce sont des lignes où une majorité de trains régionaux circulent mais peu nombreux. Ces lignes posent donc un problème de priorisation en termes d’entretien et de réfection, et sont souvent en mauvais état.

Introduisant la journée, Alain Rousset, Président du Conseil régional, a rappelé les spécificités du réseau ferroviaire de la Nouvelle-Aquitaine: son étendue, avec 3 410 km de lignes, et son état, considérablement dégradé, sur certaines lignes. Regrettant le manque d’investissement de la France dans ses infrastructures ces dernières années, à la différence de l’Allemagne ou de l’Angleterre, le président de la Région a appelé à réfléchir aux modalités de financement de ces chantiers. Alain Rousset a souligné son souhait de mettre en place, comme en Suisse, une vignette carbone pour faire face au problème de ressources sur les infrastructures. D’autant que 10 000 camions circulent chaque jour en Nouvelle-Aquitaine, créant de la pollution.

Le président a également soulevé la question de la méthode de rénovation de ces lignes ferroviaires, en fonction du type de matériel roulant qui peut y circuler. Des matériels plus légers pourraient nécessiter des fondations, du ballast ou des types de voies moins onéreux et plus faciles à poser. Les trains à batterie pourraient permettre d’éviter les coûts élevés de l’installation des caténaires. Cette réflexion sur le matériel sera portée par le FERROCAMPUS à Saintes, campus ferroviaire, lieu de recherche et de conception, qui répondra notamment aux demandes de formation des métiers ferroviaires, parmi lesquels la maintenance.

Revoir la journée d’étude

Année européenne du rail

Sur la nouvelle période, il sera ainsi doté de 5,4 milliards € à prix courant, tel que fixé dans le Cadre financier pluriannuel 2021-2027. C’est à peine moins que ce qu’avait proposé la Commission. Le Parlement européen avait proposé 7,2 milliards € mais le Conseil a réduit cette ambition. 

Ce montant devrait être ventilé ainsi entre les principaux volets et sous-programmes: 

  • pour l'environnement: 3,5 milliards € (dont plus de 2 milliards € pour le sous-programme "Nature et biodiversité" et 1,345 milliard pour le sous-programme "Économie circulaire et qualité de vie"); 
  • pour l'Action pour le climat: 1,9 milliard €, dont environ 940 millions pour le sous-programme "Changement climatique" et 990 millions pour le sous-programme "Transition vers l'énergie propre".

Il est garanti que 61% du budget total sera consacré au climat.

Ainsi à côté des thèmes d’action traditionnels, le thème des énergies propres devrait prendre de l’importance, comme celui de l’adaptation au sein du sous-programme "Changement climatique". 

Un nouveau programme de travail de trois ans devrait être publié au printemps pour indiquer les thèmes prioritaires des appels. 

Le lancement des appels à propositions est envisagé comme chaque année pour avril-mai. Les projets retenus devront faire un lien avec les questions sanitaires et la crise de la Covid-19. 

La promotion du programme en France sera assurée par le ministère de la Transition écologique et solidaire, et l’association Enviropea.

Page du ministère consacrée à LIFE  

Page d’Enviropea sur LIFE 

Débats institutionnels sur LIFE depuis 2018

2017

Pour relever les défis actuels, la stratégie donne la priorité à une réforme en profondeur de l'Organisation mondiale du commerce (OMC), comprenant des engagements mondiaux en matière de commerce et de climat, de nouvelles règles pour le commerce numérique, des règles renforcées pour lutter contre les distorsions de concurrence, ainsi que le rétablissement de son système de règlement contraignant des différends. La Commission européenne souhaite aussi intégrer l’engagement à la neutralité climatique aux futurs accords bilatéraux de libre-échange. Elle annonce à ce titre le réexamen en 2021 du plan d'action sur la mise en œuvre des chapitres de développement durable dans les accords commerciaux, afin d’intégrer notamment "la possibilité de sanctions en cas de non-conformité" des engagements de la part des pays partenaires. Concernant la relation avec les Etats –Unis, la Commission veut intensifier le partenariat transatlantique sur la transformation écologique et numérique.

Le concept d’ "autonomie stratégique", défendu par la France, est largement évoqué: fruit d’un compromis avec des Etats membres du nord de l’UE craignant le retour du protectionnisme, il devient cependant "autonomie stratégique ouverte". Sur ce point la Commission ne propose pas d’action et reste floue. Elle souligne notamment le rôle central du secteur privé pour faire face aux risques de ruptures d’approvisionnement ou aux chocs sur la demande, "en particulier lorsque les entreprises dépendent d’un seul fournisseur". La Commission en appelle également aux "décideurs politiques" qui doivent selon elle encore "mieux comprendre les vulnérabilités, partager des informations et encourager la coopération". Elle rappelle les travaux en cours "visant à recenser les dépendances stratégiques, en particulier dans les écosystèmes industriels les plus sensibles tels que la santé", qui "fourniront une base solide pour définir les réponses nécessaires et pour nouer un dialogue avec l’industrie. Ces travaux contribueront, entre autres, à la mise en œuvre de la nouvelle stratégie pharmaceutique et à l’élaboration de la stratégie de politique industrielle actualisée".

Parmi les outils à destination des PME, la Commission rappelle le rôle du Responsable européen du respect des règles du commerce (Chief Trade Enforcement Officer’s, CTEO). Ce poste, créé l’été dernier, est actuellement occupé par le Français Denis Redonnet, rattaché à la Direction générale du Commerce de la Commission européenne, qui a pour mission notamment de garantir que les PME européennes "bénéficient de façon maximale de nos accords commerciaux". La Commission annonce également le renforcement des outils en ligne d’aide aux entreprises: par exemple la création d’un nouvel outil d’accès aux marchés publics et le développement du portail en ligne Access2Market.

Enfin, la Stratégie annonce la création d’un instrument anti coercitif - une consultation est actuellement en cours et la proposition législative annoncée pour la fin de l’année - ; la création d’un instrument juridique pour remédier aux distorsions provoquées par les subventions étrangères sur le marché intérieur de l’UE; une possible "stratégie européenne pour les crédits à l’exportation", un soutien public pour aider les exportateurs à faire face à la concurrence sur les marchés étrangers. 

La communication de la Commission européenne "Réexamen de la politique commerciale – Une politique commerciale ouverte, durable et ferme"

Annexe à la communication "Réforme de l’OMC: vers un système commercial multilatéral durable et efficace"

Communiqué de presse de la Commission européenne

Consultation en cours "Différends commerciaux — Un mécanisme pour prévenir et contrer les mesures coercitives prises par des pays tiers"