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Le projet, financé par l’Europe, la Région Nouvelle-Aquitaine et l’Agence de l’Eau Adour-Garonne, arrive cette année dans sa phase finale.

Ainsi, le 14 décembre prochain, un séminaire de clôture sera organisé à l’immeuble Gironde, Bordeaux Meriadeck.

L’occasion de revenir sur les résultats du projet MAC Eau ainsi que sur la méthodologie développée. Différents intervenants témoigneront de leur expérience dans la mise en place d’actions et de projets sur des thématiques similaires.

Ces interventions s’inscrivent également dans les thèmes traités lors des journées INTERSECT’Eau.

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L’objectif de cette matinée était de présenter le rôle du bureau de la Région à Bruxelles, mais également le fonctionnement des programmes de financement gérés directement par la Commission européenne. La présentation a suscité un vif intérêt, comme en témoignent les nombreuses interventions des élus présents, qui ont rythmé les échanges. Cette rencontre faisait suite à une réunion d'information à Bergerac le 9 janvier 2017, consacrée aux Fonds européens structurels et d’investissement (FESI), dont la Région est gestionnaire.

Après avoir détaillé et illustré par des exemples concrets ses quatre missions principales que sont le lobbying, la veille informative et législative, l’accompagnement des porteurs de projet pour l’accès aux financements européens et le rôle d’interface entre les acteurs de la Nouvelle-Aquitaine et les institutions européennes, l’équipe de la Représentation a abordé l’environnement institutionnel européen et le contexte bruxellois des discussions sur l’après 2020. La présentation du Parlement européen et des eurodéputés a suscité de vifs débats, Daniel Garrigue soulignant l’importance d’un mode de scrutin aux élections européennes qui permette un lien direct entre les élus et les citoyens.

La présentation s’est ensuite concentrée sur les grands principes de participation aux programmes européens (appels à projets périodiques, partenariats en Europe, cofinancement, etc.), avant d’entrer dans le détail du fonctionnement de certains programmes pré-identifiés, agrémentés d’exemples de projets déjà financés: les programmes de coopération territoriale Sud-Ouest Européen (Sudoe) et Espace atlantique; les Actions innovatrices urbaines; les programmes Europe pour les citoyens et Erasmus +; mais également le programme LIFE, pour l’environnement et le climat.  

Au cours des échanges, plusieurs idées de projet ont été évoquées par les représentants de la mairie de Bergerac, qui feront l’objet d’analyses et d’un suivi plus approfondis.  Pour la ville, il s’agit notamment de développer la coopération avec ses collectivités jumelées, en travaillant sur plusieurs thèmes tels qu’un Parlement européen des jeunes avec Faenza (Emilie-Romagne, Italie),  l’aménagement de la coulée verte et le développement de l’écopâturage avec Ostrow (Wielkopolska, Pologne), ou encore les smart cities et le zéro déchet avec l’Allemagne.

 

Contacter la Représentation de la Nouvelle-Aquitaine à Bruxelles

S’appuyant sur un contexte qu’il juge favorable suite à la "Déclaration soja" signée par 14 Etats membres en juin dernier, et aux propos tenus par Phil Hogan en faveur d’une stratégie protéines, le Député européen Jean-Paul Denanot (France, S&D) est revenu à la charge sur cette question.  

Pour Jean-Paul Denanot, une stratégie européenne est nécessaire afin d’assurer la sécurité alimentaire de l’UE (risque de ne plus être ou mal approvisionnés en soja) mais également pour répondre à des enjeux d’ordre environnemental et climatique. Il a ainsi pu présenter, en commission de l’agriculture du Parlement européen, son rapport d’initiative: "une stratégie européenne pour la promotion des cultures protéagineuses – Encourager la production de protéagineuses et de légumineuses dans le secteur agricole européen". Pour le député, il faut  "repenser en profondeur un système agricole alimentaire durable dans lequel la protéine doit trouver toute sa place, afin de nous donner le plus possible de marge de manœuvre et d’action pour réduire notre dépendance en protéines végétales".

Jean-Paul Denanot souligne dans son rapport le besoin de s’intéresser à toutes les sources de protéines: les légumineuses à graines comme les oléagineux (colza, le tournesol, le soja) et les protéagineux (pois, pois chiche, haricot, lupin, féverole), ou encore les légumineuses fourragères (luzerne, trèfle par exemple). La prise en compte de ces différentes sources de protéines permettant ainsi, selon lui, "d’engager toutes les régions d’Europe dans un processus collectif de développement durable et de réduction de notre dépendance protéique". Quatre politiques communautaires devraient ainsi être mobilisées: la PAC bien sûr, mais aussi les politiques de recherche, de voisinage et commerciale. Dans le cadre de la PAC après 2020, il suggère quelques adaptations de certains outils existants concernant le verdissement (obligation de rotation des cultures d’une durée minimum de 3 ans), les paiements couplés, une aide du premier pilier aux services éco-systémiques pour les cultures de légumineuses, ou encore un soutien spécifique à la prise de risques afin de lancer des filières protéiques sur les territoires.

 

Le projet de rapport de Jean-Paul Denanot