Recherche
15466 résultats correspondent à votre recherche.
Malgré la forte expansion de l’éolien offshore, l’Union européenne (UE) s’était peu prononcée sur le potentiel des énergies en mer. Mais le marché a confirmé son intérêt pour le secteur. Dans le cadre du Pacte vert pour l’Europe qui appuie tous les leviers de la transition bas-carbone, la Commission européenne (CE) a présenté le 19 novembre une stratégie en faveur de toutes les énergies renouvelables en mer.
L’objectif primordial est de favoriser les investissements pour conserver la place de leader que les entreprises européennes ont en matière d’éolien offshore posé (fixe), de technologies d’énergies des vagues et des marées, voire en matière d’éolien flottant. L’objectif "réaliste" pour la CE est de parvenir à une capacité installée, d'ici 2030, de 60 GW d'énergie éolienne en mer et de 1 GW d'énergies océaniques, permettant de viser respectivement de 300 à 600 GW d’éolien, et 40 GW d’océanique, en 2050.
La Commission souligne dans son analyse les potentiels des différentes mers d’Europe, dont la Mer du Nord, la plus avancée en termes industriels, et l’Atlantique, au fort potentiel éolien et disposant de potentiel en termes d’énergies des vagues et des marées.
Pour favoriser le développement de ces technologies, la Commission propose de résoudre les principales difficultés bien identifiées. En premier lieu, concerter les différents acteurs de l’espace maritime. Elle prône pour cela la mise en place d’un outil européen de la planification de l’espace maritime. La Commission veut mettre sur pied dans les quatre ans des projets pilotes avec les Etats, permettant une prise en compte des risques au niveau des bassins maritimes et le respect de la biodiversité marine. Elle développera aussi une base de projets scientifiques et un recensement des difficultés avec les zones de défense.
En second lieu, elle souhaite développer une nouvelle approche sur les infrastructures de réseaux, à travers des "projets hybrides" reposant sur des accords entre Etats membres frontaliers. Ce type de projet, tout comme la production d’hydrogène en mer, nécessitera un éclaircissement de la réglementation européenne en matière de connexions notamment.
Par ailleurs, la CE souhaite mobiliser les investissements privés grâce au fonds européen InvestEU qui leur fournira des garanties, ou au titre de l’initiative phare "Power up" dans le cadre de la Facilité européenne pour la reprise et la résilience (2020-2021). L’UE soutiendra aussi le développement de projets de coopération transfrontalière, y compris des interconnexions, dans le cadre du nouveau mécanisme pour l’interconnexion en Europe; la Banque européenne d’investissements (BEI) fournira un appui à des investissements à plus haut risque renforçant la primauté technologique.
En matière de recherche, à travers le programme Horizon Europe, dès 2021 et 2022, la Commission veut améliorer l’efficacité de la chaîne de valeur industrielle des éoliennes et développer de nouvelles conceptions de technologies océaniques et solaires flottantes. Elle lancera un programme d'investissement d'ici 2025 pour dix projets de démonstration à grande échelle, notamment dans les îles.
Enfin, la Commission appuiera le renforcement de la chaîne d’approvisionnement et de valeur en poussant à la standardisation et l’interopérabilité entre les convertisseurs de différents fabricants, et en établissant une plateforme spécifique réunissant tous les acteurs, au sein du Forum industriel de l'énergie propre sur les énergies renouvelables. Elle appuiera également l’action des régions et des universités pour lancer des programmes d’éducation et de formation, avec l’appui du Fonds social européen, et pour créer des programmes académiques autour de cette thématique. Elle promet aussi d’encourager l’accès au marché des pays tiers, en usant si besoin de voies de recours contre les obstacles illégaux.
Ce document stratégique de la politique de protection des consommateurs de l’UE, adopté vendredi dernier par la Commission, se veut innovant et résilient. Reprenant l’agenda des consommateurs de 2012 mais tout en s’adaptant aux enjeux actuels tels que la transition verte ou le numérique, cette feuille de route a reçu un avis très favorable parmi les associations de consommateurs et des commerces de détail. Cette mise à jour a notamment pour objectif de répondre aux nouveaux défis engendrés par les transitions écologique et numérique ou la pandémie de Covid 19. Mais aussi de mieux protéger les consommateurs, surtout les plus vulnérables, face aux nouvelles réalités imposées par la crise sanitaire, ou encore d’améliorer la coopération internationale afin de prévoir des règles communes à tous, au-delà des frontières nationales.
Plus spécifiquement, cette feuille de route aborde cinq points prioritaires. Le premier concerne une transition verte dans lequel la Commission veut favoriser l’accès aux produits durables et écologiques et lutter contre certaines pratiques telle que l’obsolescence programmée. Le plan d’action pour une économie circulaire ou la récente stratégie pour la durabilité dans le domaine des produits chimiques contribueront à atteindre ces objectifs. Le deuxième point sur le numérique met l’accent sur une meilleure protection des consommateurs dans le cadre du commerce en ligne en luttant par exemple contre certaines politiques commerciales frauduleuses. Le troisième point se focalise sur une mise en œuvre plus rapide du droit des consommateurs, dans lequel la Commission propose de jouer un rôle de coordination et de soutien auprès des Etats-membres. Le quatrième point quant à lui se concentre sur les besoins spécifiques de certains groupes de consommateurs vus comme plus vulnérables et, enfin, le cinquième point entend promouvoir la coopération internationale afin de proposer aux consommateurs une protection harmonisée.
Se fondant sur une consultation publique lancée en juin 2020 par la Commission, ce nouvel agenda reflète les attentes des parties intéressées et garantit que celles-ci seront prises en compte dans le nouveau cadre financier pluriannuel. La prochaine étape sera alors de dialoguer avec toutes les parties afin de trouver un accord sur les priorités à mettre en place et sur les moyens pour y parvenir.
Après son approbation par le Parlement européen et son adoption par le Conseil, l’accord bilatéral UE-Chine sur les Indications Géographiques agricoles (IG) entrera en vigueur début 2021. Il protégera 100 IG européennes en Chine et 100 IG chinoises dans l'Union contre les usurpations et les imitations. Le marché chinois est un marché à fort potentiel de croissance pour le secteur européen de l'alimentation et des boissons. En 2019, la Chine était la troisième destination des exportations de produits agroalimentaires de l'Union européenne. Elle est également la deuxième destination des exportations de produits de l'Union qui sont protégés par une indication géographique, représentant 9% en valeur, en ce compris les vins, les produits agroalimentaires et les boissons spiritueuses. L'accord permettra en outre aux consommateurs européens de découvrir des spécialités chinoises authentiques.
La liste des indications géographiques de l'UE devant être protégées en Chine comprend 25 IG françaises dont près de la moitié sont néo-aquitaines: Armagnac, Bordeaux, Pruneaux d’Agen, Cognac, Graves, Margaux, Médoc, Pauillac, Pessac Léognan, Pomerol, Saint Emilion.
Après son approbation par le Parlement européen et son adoption par le Conseil, l’accord bilatéral UE-Chine sur les Indications Géographiques agricoles (IG) entrera en vigueur début 2021. Il protégera 100 IG européennes en Chine et 100 IG chinoises dans l'Union contre les usurpations et les imitations. Le marché chinois est un marché à fort potentiel de croissance pour le secteur européen de l'alimentation et des boissons. En 2019, la Chine était la troisième destination des exportations de produits agroalimentaires de l'Union européenne. Elle est également la deuxième destination des exportations de produits de l'Union qui sont protégés par une indication géographique, représentant 9% en valeur, en ce compris les vins, les produits agroalimentaires et les boissons spiritueuses. L'accord permettra en outre aux consommateurs européens de découvrir des spécialités chinoises authentiques.
La liste des indications géographiques de l'UE devant être protégées en Chine comprend 25 IG françaises dont près de la moitié sont néo-aquitaines: Armagnac, Bordeaux, Pruneaux d’Agen, Cognac, Graves, Margaux, Médoc, Pauillac, Pessac Léognan, Pomerol, Saint Emilion.
L'Institut européen d'innovation et de technologie (EIT) sur la mobilité urbaine organise son premier sommet européen. Ce somment sera l’occasion pour les parties prenantes, les décideurs politiques et les experts scientifiques de débattre du programme "Mobilité urbaine" de l’EIT, dont l’objectif est de devenir la plus grande initiative européenne de transformation de la mobilité urbaine.
L'Institut européen d'innovation et de technologie (EIT) sur la mobilité urbaine organise son premier sommet européen. Ce somment sera l’occasion pour les parties prenantes, les décideurs politiques et les experts scientifiques de débattre du programme "Mobilité urbaine" de l’EIT, dont l’objectif est de devenir la plus grande initiative européenne de transformation de la mobilité urbaine.
Le Conseil régional et le Comité Consultatif Régional de la Recherche et du Développement Technologique organisent une conférence en ligne sur Horizon Europe, le prochain programme de la Commission européenne pour la Recherche et l’Innovation. Après un premier bilan des bénéfices de ce programme sur le territoire néo-aquitain, Jean-Eric Paquet, Directeur Général Recherche & Innovation à la Commission Européenne, interviendra pour présenter les nouveautés du programme Horizon Europe et les grandes priorités européennes pour la Recherche et l’Innovation pour la période 2021-2027.
Evènement sur invitation du Conseil régional et du Comité Consultatif Régional de la Recherche et du Développement Technologique.
Le Conseil régional et le Comité Consultatif Régional de la Recherche et du Développement Technologique organisent une conférence en ligne sur Horizon Europe, le prochain programme de la Commission européenne pour la Recherche et l’Innovation. Après un premier bilan des bénéfices de ce programme sur le territoire néo-aquitain, Jean-Eric Paquet, Directeur Général Recherche & Innovation à la Commission Européenne, interviendra pour présenter les nouveautés du programme Horizon Europe et les grandes priorités européennes pour la Recherche et l’Innovation pour la période 2021-2027.
Evènement sur invitation du Conseil régional et du Comité Consultatif Régional de la Recherche et du Développement Technologique.
Des réunions de concertation sur les aides FEADER pour la Forêt, la Montagne, l’Installation et la Transition agro-environnementale se sont tenues d’octobre à novembre 2020 en Nouvelle-Aquitaine. Elles ont permis de partager les retours d’expérience de la programmation 2014-2020 ainsi que les pistes d’évolutions des futures aides FEADER au sein du partenariat régional.
Il est proposé à présent d’évoquer la synthèse de ces travaux et d’aborder la future stratégie d’intervention du FEADER en Nouvelle-Aquitaine pour 2023-2027.
Ce sera aussi l’occasion de présenter l’état d’avancement du Plan de relance néo-aquitain dans les secteurs agricole et agroalimentaire mis en œuvre dans le cadre de la période de transition 2021-2022.
Inscription ouverte aux membres du partenariat du comité de suivi des fonds européens.