Résultats de recherche pour "Bruxelles"

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Fonctionnant sur la base du "premier arrivé, premier servi", l’appel comportait un nombre limité de bons pour chaque Etat membre.

En France, 224 communes ont candidaté avec succès, dont 19 en Nouvelle Aquitaine:

  • Vouzan, en Charente;
  • Moragne et La Rochelle en Charente-Maritime;
  • Taizé-Maulais, dans les Deux-Sèvres;
  • Chancelade et Prigonrieux en Dordogne;
  • Saint-Christophe-de-Double, Coutras et Bazas en Gironde;
  • Peyrat-le-Château, Le Chalard, Coussac-Bonneval, Solignac et Saint-Yrieix-la-Perche en Haute-Vienne;
  • Castets dans les Landes;
  • Boé dans le Lot-et-Garonne;
  • Oloron-Sainte-Marie dans les Pyrénées-Atlantiques;
  • Neuville-de-Poitou et Sillars dans la Vienne.  

Un prochain appel à candidatures devrait être publié début 2019. Les communes intéressées peuvent d’ores et déjà s’inscrire sur la plateforme Wifi4EU

 

La page des appels à candidatures Wifi4EU

La plateforme Wifi4EU

Denis Guignot, Vice-président du Pôle, Olivier Girel, Directeur Projets & Innovations, et Philippe Bouyer, Directeur du Laboratoire LP2N (Photonique Numérique et Nanosciences) ont rencontré des interlocuteurs de la DG Entreprises (GROW) et Numérique (CONNECT) de la Commission européenne pour présenter les actualités du Pôle et les projets en cours. Les échanges ont également porté sur plusieurs initiatives européennes à venir sur des thématiques de travail d’ALPHA-RLH. Le développement industriel dans le domaine de la Défense va par exemple faire l’objet d’un nouveau programme européen de financement (voir article de septembre 2018). Les premiers appels devraient être publiés au printemps 2019.

Les prochains programmes 2021-2027 Horizon Europe, Europe Numérique ou encore le Programme pour le marché unique constitueront de nouvelles opportunités de coopération transnationale pour le Pôle et ses membres.

Répartie entre Bordeaux, Limoges et La Rochelle, l’équipe du Pôle est déjà impliquée dans plusieurs initiatives européennes. Hervé Floch, Directeur général du Pôle, préside la commission Europe de l’Association française des Pôles de Compétitivité, et est membre du Conseil des parties prenantes de la plateforme européenne Photonics21. Enfin, le Pôle pilote le projet européen PIMAP (Photonics for International Markets and APplications), financé pour deux ans par le volet ESCP-4i du programme COSME, et mené en coopération avec des clusters suédois, finlandais et portugais.

Site Internet du Pôle ALPHA-RLH

En présence de nombreux représentants du monde professionnel agricole, académique et associatif, mais aussi de la Commission européenne, les régions françaises ont souhaité à cette occasion réaffirmer leur volonté d’être "responsables du pilotage, de la mise en œuvre et du paiement des aides relevant de l’actuel périmètre du 2ème pilier, en cohérence avec une stratégie nationale véritablement co-construite". Cette position est détaillée dans le livre blanc des régions "Pour une agriculture durable et une alimentation responsable".
 
En ouverture de la journée, Alain Rousset a rappelé que les régions placent la France "au-dessus de la moyenne européenne  pour la consommation du FEADER", et qu’elles gèrent "d’une manière rigoureuse" le 2ème pilier de la PAC.  Il a aussi souligné la capacité des régions à co-construire des politiques avec le monde agricole au plus près des territoires et de leur diversité, et ce pour accompagner le changement vers un autre modèle agricole. Pour Hervé Morin, c’est également cette capacité qu’ont les régions à décliner le plus finement possible les politiques européennes qui permet de "faire système" et d’être efficace au service de la transformation de l’agriculture: la question est donc de savoir comment est-on efficace pour faire système.  En réponse, et après avoir évoqué la position de la France dans les négociations européennes sur la future PAC, le Ministre de l’Agriculture Didier Guillaume a annoncé un arbitrage d’ici début 2019 du Président de la République.

Des présentations de dispositifs déployés en régions ainsi que des prises de paroles des représentants des syndicats agricoles sont venus compléter la matinée. La journée s’est ensuite poursuivie par la présentation des propositions de la Commission européenne pour la future PAC, par le Directeur Général de la DG AGRI de la Commission européenne, Jerzy Bogdan PLEWA. Son allocution a été suivie d’une table ronde au cours de laquelle Simona Caselli, Ministre de l’Agriculture de la Région Emilie-Romagne, a rappelé qu’en Italie ce sont les régions qui disposent des compétences en matière agricole et a souligné qu’elles sont le niveau de gouvernance le plus adapté pour répondre aux spécificités territoriales agricole et agroalimentaire.

Le Livre blanc des régions pour une agriculture durable et une alimentation responsable

C’est l’une des commissions les plus importantes pour les régions, car elle couvre notamment la cohésion économique, sociale et territoriale, et donc les fonds structurels, les transports, la coopération territoriale, ou encore le budget de l’Union européenne (UE). Sa nomination est dans la suite de son engagement auprès du CdR depuis 2016 et de son parcours.

Pour rappel, sur le budget, elle a présidé un Groupe de travail spécial au sein de la COTER dédié à la question des ressources propres de l'UE et dont elle a élaboré un avis qui a été adopté.

Sur le transport, Isabelle Boudineau a été en charge d’un deuxième avis traitant du Mécanisme Européen d’Interconnexion (MIE), adopté à l'unanimité en plénière du Comité des Régions le 10 octobre dernier (voir Info Europe du 29 octobre). C’est d’ailleurs à ce titre qu’elle a participé, le 4 décembre, à un atelier commun de la COTER avec la commission Transport du Parlement européen consacré au rôle des villes et des régions dans le financement du transport propre et durable. A cette occasion, elle est revenue sur les principaux points de son rapport sur le MIE.

Fruit de l’ensemble de cet engagement, le 14 décembre 2018, les membres de la COTER ont approuvé la nomination d’Isabelle Boudineau pour prendre la présidence de la commission. Une fonction qu’elle occupera jusqu’en février 2020.

Un programme de travail est déjà en cours. En effet, la présidente devra assurer le suivi de l’impact auprès des institutions européennes des avis de la COTER approuvés jusqu’ici par le Comité des Régions. Elle sera une interface essentielle pour créer le lien entre, d’une part, les collectivités territoriales, et d’autre part la Commission européenne et le Parlement européen. Des rencontres bilatérales sont par ailleurs déjà prévues avec les présidents des commissions du Parlement européen en charge de la Politique Régionale (REGI) et TRAN. Elle devra aussi animer les questions majeures à venir telles que l’impact du Brexit, les questions liées à la future politique de cohésion  ainsi que sur le budget européen post-2020.

Les entreprises de la délégation étaient toutes membres du Club des Entreprises de Taille Intermédiaire (ETI) de Nouvelle-Aquitaine, présidé par Marc Prikazsky, PDG de CEVA Santé animale. Ce club, créé en 2013 à l’initiative de la Région, réunit un groupe de 66 ETI et 17 PME à potentiel.

La catégorie des ETI a été créée en France il y a 10 ans et regroupe les sociétés comptant entre 250 et 4 999 salariés, qui ne sont plus des PME et pas encore des grands groupes. Même si elles ne sont que 5 800 en France, elles sont essentielles à l’innovation et au développement économique des régions et des territoires, représentant par exemple 23% de l’emploi salarié et 34% des exportations. Ces entreprises manquent cependant encore de reconnaissance.

Les objectifs de ce déplacement étaient de faire connaître le rôle joué par ces entreprises de taille intermédiaire pour l’économie et l’industrie européennes et de faire remonter leurs besoins afin qu’ils soient mieux pris en compte dans la législation.

La journée s’est ouverte par une rencontre avec Irmfried Schwimann, Directrice générale adjointe en charge du Marché unique et des PME au sein de la Direction Industrie et Entrepreneuriat de la Commission européenne, à propos de la spécificité des ETI et des possibilités d'accès aux financements européens pour ces entreprises.  

Le Club des ETI a également eu l’opportunité d’échanger avec plusieurs interlocuteurs allemands: Mark Weinmeister, Secrétaire d'Etat du Land de Hesse, des représentants d’entreprises et d’associations d’entreprises allemandes, ainsi que l’Eurodéputé Markus Ferber (PPE – Allemagne). Le concept allemand du Mittelstand est souvent présenté comme la colonne vertébrale de l’économie allemande, regroupant des entreprises intermédiaires solides, à fort ancrage territorial, dont le capital est détenu majoritairement par une ou plusieurs familles fondatrices qui font partie de l’équipe. Les ETI françaises partagent donc de nombreux points communs avec les entreprises du Mittelstand.

Les échanges se sont poursuivis tout au long de la journée avec des représentants des différentes institutions européennes: les Eurodéputés Alain Lamassoure et Elisabeth Morin-Chartier, le Négociateur en chef de la Commission européenne chargé du Brexit, Michel Barnier, le Commissaire européen aux Affaires économiques et financières Pierre Moscovici et le Représentant permanent de la France auprès de l'Union européenne Philippe Leglise-Costa.

Tous les interlocuteurs européens se sont montrés très à l'écoute des problématiques spécifiques de cette catégorie d’entreprises, que ce soit sur les questions de mise sur le marché de produits innovants, de manque de compétences qualifiées, des conditions de reprise et de succession d’une entreprise familiale, d’accès aux financements ou encore du nécessaire approfondissement du marché unique européen.

Animé par le slogan "(Re)Fonder l'Union européenne", le Sommet rassemblera des dirigeants de l’UE (Président de la Commission, du Parlement européen, du Conseil européen, du Comité des Régions) et des pouvoirs nationaux, locaux et régionaux de l’ensemble de l’Europe, pour débattre de l’avenir de l’Union et de la manière d’associer plus efficacement les citoyens au projet européen, notamment par l’intermédiaire des collectivités locales et régionales.

Au cours de cette manifestation, une déclaration des dirigeants locaux et régionaux sur l’avenir de l’Europe sera adoptée afin de faire entendre leur voix à la veille des élections européennes.

Dans cette dynamique, le Comité des Régions lance un concours auprès des jeunes élus locaux pour faire partie du débat. Il sélectionnera 100 candidats venant de l'Union européenne et âgés de 40 ans ou moins, qui seront pris en charge pour participer au Sommet.

Vous pouvez postuler jusqu'au 18 janvier 2019 en remplissant le formulaire en anglais
 

Vous pouvez aussi venir librement au Sommet, pour cela nous vous recommandons de vous préinscrire 
 

Toutes les informations sur le Sommet (agenda, informations pratiques…)

La journée a été ouverte par Isabelle Boudineau, Vice-présidente Europe et International de la Nouvelle-Aquitaine, qui a insisté dans son introduction sur l'importance du tandem Europe-Région. Elle a rappelé que le Conseil régional est Autorité de gestion de près de 2,5 milliards € de fonds européens pour la période 2014-2020 et que le rythme de progression dans l'utilisation de ces fonds était tout à fait satisfaisant. Isabelle Boudineau a également indiqué que la Région était dans l'attente de savoir ce qu'il se passera après 2020, notamment en termes d'architecture de gestion. Elle a en outre souligné que ces montants finançaient l'Europe de la proximité et que l'Europe s'adressait à tous les citoyens dans leur quotidien.

Près de 100 personnes, membres et fonctionnaires du CESER, ont participé à cette journée de présentations et d’échanges sur les opportunités de soutien européen pour des projets en région. Après avoir balayé le rôle du bureau de Bruxelles et le contexte institutionnel dans lequel il s’inscrit, le budget européen et son avenir ainsi que les grands principes de participation aux programmes de financement sectoriels de l’Union européenne ont été abordés. Les programmes opérationnels Aquitaine, Limousin et Poitou-Charentes et leur état d’avancement ont ensuite fait l’objet d’une présentation détaillée.
 
En deuxième partie de journée, les ateliers étaient consacrés aux thèmes suivants – avec des éclairages parallèles des possibilités de cofinancement dans le cadre des programmes opérationnels régionaux d’une part, dans le cadre des programmes sectoriels de l’UE de l’autre:

  • Développement économique, recherche-développement-innovation et numérique (programmes Horizon 2020 et COSME);
  • Environnement, climat, transport (programmes Life et Mécanisme pour l’interconnexion en Europe);
  • Education, culture, jeunesse et formation (programmes Erasmus+ et Europe créative).

Les membres du CESER se sont montrés très dynamiques tout au long des présentations, qu'ils ont rythmées de nombreuses questions et interventions. Les discussions entre participants et intervenants autour du rôle de l'Europe et de la Région ont été riches et intenses.

Environnement - Convention d’Aarhus (accès à la justice des citoyens)

L’Union européenne a signé en 2001 la Convention d’Aarhus, Convention internationale de 1998 qui, en matière d'environnement, a ouvert le droit aux personnes d'accéder aux informations, de participer à la prise de décisions publiques et de demander justice pour des litiges portant sur le non-respect du droit.
Le Comité contrôlant l'application de la Convention a constaté que l’Union n’était pas assez vigilante quant à la mise en œuvre de cette convention en Europe. Aussi la Commission souhaite évaluer auprès des pouvoirs publics et des ONG notamment l'application actuelle de l'accès à la justice en matière d'environnement, au niveau européen comme au niveau des tribunaux nationaux.
La consultation est ouverte jusqu’au 14 mars 2019.
 
La consultation  

Site du gouvernement français sur la Convention d’Aarhus  

Mobiliser efficacement les fonds européens pour soutenir des projets et les territoires

Environnement - Convention d’Aarhus (accès à la justice des citoyens)

L’Union européenne a signé en 2001 la Convention d’Aarhus, Convention internationale de 1998 qui, en matière d'environnement, a ouvert le droit aux personnes d'accéder aux informations, de participer à la prise de décisions publiques et de demander justice pour des litiges portant sur le non-respect du droit.
Le Comité contrôlant l'application de la Convention a constaté que l’Union n’était pas assez vigilante quant à la mise en œuvre de cette convention en Europe. Aussi la Commission souhaite évaluer auprès des pouvoirs publics et des ONG notamment l'application actuelle de l'accès à la justice en matière d'environnement, au niveau européen comme au niveau des tribunaux nationaux.
La consultation est ouverte jusqu’au 14 mars 2019.
 
La consultation  

Site du gouvernement français sur la Convention d’Aarhus